« Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui, je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. » Après No et Moi et Les Heures souterraines, Delphine de Vigan nous propose une plongée bouleversante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoshow moreient les secrets les plus enfouis. Ce sont toutes nos failles et nos blessures qu’elle déroule ici avec force.